C’est en tout cas ce qu’affirme Capital. Dans sa dernière édition, le magazine économique a, sous un titre de couverture très accrocheur, « Les 400 qui ruinent la France », brocardé une liste d’élus, de fonctionnaires et de patrons responsables, selon lui, d’empêcher l’économie française de sortir de l’ornière. Dans la catégorie « Les défenseurs des rentes et des monopoles », Aline Mesplès est citée parmi ces dirigeants. « Elle a tué l’écotaxe qui devait rapporter plus d’1 Md€ par an », écrit Capital, reprochant à la présidente de l’OTRE l’organisation de barrages routiers, fin 2013, qui aurait – en même temps que les manifestations des Bonnets rouges – fait plier le gouvernement Ayrault. Et de lui affecter, en pied… d’article, la responsabilité des 600 ou 800 M€ que l’État (le contribuable) devra régler à Ecomouv’ en cas d’abandon de l’écotaxe !
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