Le gouvernement ne veut pas rater son pacte de responsabilité. Et il procède par étapes séquencées sans confondre vitesse et précipitation pour « booster » la compétitivité des TPE/PME comme des grands groupes. Il table d’emblée sur les travaux des Assises de la fiscalité, lancées fin janvier, et qui déboucheront sur des propositions concrètes à la fin du mois de mars. Dans ce cadre, les préconisations du groupe de travail qui planche notamment sur l’imposition des entreprises seront fécondes. Aujourd’hui, le taux de l’imposition sur les sociétés (IS) est de 33,3 % pour les entreprises françaises dégageant plus de 38 120 € de bénéfices. Au-delà de 7,6 M€ de CA, s’ajoute la contribution sociale sur les bénéfices qui s’élève à 3,3 % de l’IS payé. Celles dont le CA dépasse 250 M€ doivent payer la contribution exceptionnelle à l’impôt sur les sociétés ou « surtax
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