« Nous espérons tenir comme nous avons tenu en 2020, en partie grâce à notre trésorerie, sans prêt garanti par l’État, et aussi grâce à notre diversité d’activités. Après le coup de massue de mars 2020, les matières dangereuses, en particulier, sont restées stables. Nos flux pour les fournisseurs chimiques des gestionnaires de traitement d’eau n’ont pas connu d’interruption. Quant à la matière dangereuse pour l’industrie, l’activité a repris après une pause. Concernant l’industrie, plus largement, nous travaillons à environ 60 % de notre activité habituelle, après un automne compliqué. Mais c’est surtout sur la commission, où nous réalisons 60 % du chiffre dans le transport de boissons, que tout s’est arrêté complètement depuis octobre. Et là, nous, petits fournisseurs, ne recevons aucune aide, en dehors des 1 500 euros de base, tandis que les restaurateurs ou les organisateurs d’événements ont obtenu un soutien à hauteur de 20 % de leur chiffre d’affaires. Autant dire que nous sommes la dernière roue du carrosse… Le transporteur, avec des marges ridicules, est souvent le parent pauvre des prestataires. En 1986, mon gra
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?