« En 2020, à cause du confinement, nous avons eu 14 camions à l’arrêt dans le transport industriel. Cela représente une perte de 200 000 euros de chiffre d’affaires. Le bilan est négatif mais pas catastrophique. Cela correspond à 50 000 euros pour Déménagement Jézéquel avec un résultat honorable de 50 000 euros. L’Herrou, une société que nous avons reprise en 2018, a été mise à l’arrêt pendant un mois après deux années de croissance. Avec la concurrence étrangère et la flambée des prix du gazole, nous traversons encore une crise. Pendant les trois à quatre prochaines années, nous allons devoir vivre avec le coronavirus, nous adapter avec toujours des remises en question. Cela passera par de l’innovation, notamment dans le matériel roulant. Par exemple, j’ai amélioré l’outil de travail en acquérant deux camions de 26 tonnes, car le parc était jusqu’à présent équipé en 19 tonnes pour l’activité déménagement. La crise s’est accompagnée de mouvements de population et, un an après le début du confinement, ce secteur affiche un certain dynamisme. Il bénéficie d’une demande à la hausse (+ 10 %) ; 40 % des déménage
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