« En 2020, après trois années de croissance à 20 % en moyenne, on a perdu environ 10 % sur notre chiffre de 2019, mais on a tenu. Nous avons bénéficié des reports de charge, avons utilisé, par roulement, l’activité partielle, et contracté un PGE que nous avons déjà remboursé. Et, surtout, nous n’avons jamais complètement arrêté de travailler, en nous efforçant de ne pas trop baisser les prix comme certains confrères. Il serait tellement plus compliqué de revenir ensuite à des prix corrects.
Depuis la mi-juin, toutes nos activités de vrac, matières dangereuses et porte-engins, sont reparties très fort. Nous espérons retrouver notre volume de 2019. Mais si le travail ne manque pas, il faut composer, comme tout le monde, avec les difficultés d’approvisionnement… On nous livre certains véhicules qui doivent être complétés. Un de nos camions est même arrêté depuis plus de deux semaines, faute de pièce de rechange !
Par ailleurs, je suis vraiment préoccupé par deux sujets, particulièrement complexes en Île-de-France depuis cinq ans, avec les travaux du Grand Paris. D’une part, tous les transporteurs ne respectent pas les règles, pour le c
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