« Nous ne pouvons accepter l'immobilisme patronal. Si la situation n'évolue pas rapidement, nous nous gardons la possibilité d'organiser une action nationale au printemps », prévient Jean-Pierre Rémy, secrétaire adjoint de l'Union fédérale route CFDT. Le syndicat regrette ainsi que les négociations paritaires soient actuellement bloquées sur plusieurs fronts. Sur le dossier des frais de déplacement, les partenaires ont campé sur leurs positions. La partie patronale propose de majorer de 3 % les indemnités de repas, dont celle de repas unique. Ce qui, selon Philippe Choutet, délégué général de l'Union des fédérations de Transports (UFT), revient à revaloriser de 2,3 % l'indemnité de grand déplacement avec un repas et de 2,75 % celle avec deux repas. L'UFT et l'Unostra souhaitent par ailleurs que ces augmentations soient rétroactives au 1er janvier
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