« Rouvrir le tunnel le 1er septembre, c'est rouvrir sans assurer la sécurité. Il faut compter au minimum une dizaine de mois à partir du moment où les services techniques seront saisis pour la sécurisation de l'infrastructure. Il faut aussi le temps de recruter et former les agents », détaille Didier Mansot, responsable du syndicat. Lequel s'exprimait suite à une réunion organisée à Chamonix par les dirigeants du Groupement européen d'intérêt économique (GEIE) franco-italien du tunnel, organisme chargé de piloter les travaux, et le comité de sécurité. De son côté, la direction de la société Autoroutes et Tunnel du Mont-Blanc (ATMB) assure que des réponses ont été apportées à toutes les questions posées par les syndicats. Le GEIE souhaite ainsi passer une convention avec le service départemental incendie et secours de Haute-Savoie (SDIS) et les pompiers italiens du Val d'Aoste afin de mettre en place un service
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