L’État français condamné pour ses émissions de NO2

Article réservé aux abonnés

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) vient de mettre la France à l’index pour avoir dépassé « de manière systématique et persistante la valeur limite annuelle pour le dioxyde d’azote (NO2) depuis le 1er janvier 2010 ». Suite à l’arrêt rendu le 24 octobre 2019 (aff. C-636/18), le gouvernement s’est alors engagé à « améliorer rapidement et durablement la qualité de l’air ».

L’arrêt de la CJUE mettant en cause la France est la résultante d’une procédure initiée par la Commission européenne en 2015. Elle avait envoyé une lettre de mise en demeure aux autorités nationales dans laquelle elle estimait que la « République française » n’avait pas observé les valeurs limites applicables pour le NO2 (dioxyde d’azote), dans plusieurs zones* du territoire, depuis le 1er janvier 2010, alors que la directive 2008/50 l’exigeait. De la même façon, plusieurs ONG ne cessent de dénoncer l’État français pour son inaction en matière de protection du climat. Par exemple, le dernier rapport de l’Observatoire climat-énergie, publié le 18 septembre dernier, qui dresse un état des li

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Actualités

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15