C'est ce que pèse la société Transalliance, dont Philippe Michel a été autorisé à prendre le contrôle le 20 décembre par l'administration française. Précédemment directeur général et actionnaire minoritaire de Transalliance Participations, dont Transalliance est une filiale aux côtés du prestataire logistique Stockalliance, Philippe Michel bénéficie, pour mener cette opération, du soutien financier des investisseurs 3i et SNBV Participations. Ces derniers prendraient respectivement 40% et 7% du capital. Philippe Michel contrôlant les autres 53%. Il était le seul candidat en lice pour le rachat auprès du Consortium De Réalisation, établissement public de cantonnement des actifs douteux du Crédit Lyonnais.
Le CDR s'est discrètement résolu dans le courant de l'automne dernier à conserver le contrôle de Stockalliance, qui afficherait de piètres résultats économiques et financiers. C'est pourtant la vente de Transalliance avec Stockallianc
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