Se méfier des « fausses bonnes solutions »...

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Face à la multiplication des plates-formes logistiques d'initiatives publiques ou privées, l'état doit se méfier des « bonnes fausses solutions ». Il devrait prendre en compte les projets répondant aux préoccupations des professionnels du transport avec le souci de privilégier l'intermodalité.

Au début des années soixante-dix, alors que commençait à émerger une nouvelle demande en matière de logistique industrielle, les opérateurs de transport étaient confrontés à une pénurie d'implantations de stockage due à l'absence de plates-formes dédiées correspondant à leurs besoins en matière de distribution. En créant, en 1967, à Rungis, près du marché-gare et d'Orly, la première plate-forme multimodale dédiée aux transporteurs pour optimiser les livraisons dans Paris, Sogaris entendait répondre à cette demande. Même démarche pour Garonor qui s'implantait à proximité de Roissy.

Depuis, on a bien failli basculer dans l'excès inverse. Projets publics et réalisations privées se sont quelque temps télescopés. L'ouverture du Marché unique, en 1993, a agi comme un catalyseur, chaque région se découvrant - de façon général

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