Une nette amélioration malgré des lacunes

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Transposée en 2006 en Allemagne, la directive européenne 2003-59-CE a fait nettement évoluer le système de formation des chauffeurs routiers. Particulièrement pour ceux déjà en exercice : « auparavant, ils n’avaient besoin que de leur permis C, explique Markus Olligschläger de la DSLV (fédération allemande des sociétés de transport et logistique). Certains avaient suivi ici ou là une formation mais ce n’était pas la règle ». La directive a donc imposé aux conducteurs de poids lourd de réaliser 35 heures de formation continue jusqu’au 10 septembre 2014 (souvent par module de 7 h par an durant cinq ans), avec un délai de deux ans pour certains d’entre eux. C’est la condition indispensable à l’obtention du tampon « 95 » dans leur permis – l’équivalent de la « carte de qualification conducteur » (CQC) en France. « C’est fait pour la grande majorité d’entre eux, précise Markus Olligschläger. Le problème est de savoir comment cela a été fait ». Le système autorise en effet auto-écoles, organismes agréés et certaines entreprises à fournir cet apprentissage. Mais aux dires des professionnels, il manque de contrôles.

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