Nous travaillons plutôt avec des entreprises importantes dont le chiffre d'affaires est supérieur à 800 millions de francs » précise Daniel Planaud. Cependant, indique-t-il, aucune spécificité ne différencie le secteur du transport d'autres secteurs d'activités, en termes de financement : « toutes les entreprises fonctionnent sur le même schéma et nous leur proposons les formules habituelles : des emprunts classiques, c'est-à-dire des crédits à moyen et long terme et des crédit-baux immobiliers ». Son expérience lui a prouvé que cette dernière technique de financement est la plus recherchée et la plus utilisée : « Pour les entreprises qui sont bénéficiaires, le crédit-bail présente des avantages fiscaux puisque le locataire peut déduire ses loyers de ses impôts. Le montant de la l
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