« Renault VI vend seulement 100 véhicules par an à l'Ugap dont une part importante sont des véhicules spéciaux destinés au ministère de la Défense. Nos fournisseurs nous imposent un cahier des charges drastique (contrôle et maintenance spécifiques, procédure spéciale de livraison, formation, etc.). Autant d'éléments qui expliquent la différence de prix entre camion militaire et un véhicule classique. Comparons ce qui est comparable : il ne s'agit pas de surcoût artificiel, mais bien de prestations rémunérées à leur juste prix », explique Dominique Plassais de Renault VI.
Début février, un rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) mettait gravement en cause le fonctionnement de l'Ugap, établissement public destiné à organiser et à regrouper, à la manière d'une centrale, les achats pour le compte des administrations. Parmi les irrégularités constatées par les inspec
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