La faute aux Italiens ?

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Le rapport d'étape sur les circonstances de l'incendie du tunnel du Mont-Blanc - qui sera « fermé pendant une longue période » - met en cause la conception de l'ouvrage alpin ainsi que l'organisation des secours. Il égratigne au passage la société concessionnaire italienne.

Le rapport d'étape de l'enquête administrative et technique sur l'incendie du tunnel du Mont Blanc, rendu public le 13 avril dernier, confirme ce que tout le monde pressentait depuis le drame. Les deux enquêteurs, Michel Marec, ingénieur-général des Ponts et Chaussées et Pierre Duffé, inspecteur-général de l'administration, mettent tout d'abord en cause la conception de l'ouvrage qui remonte au début des années soixante. Parmi les nombreux points noirs, le rapport mentionne les moyens « limités » dont était pourvu le Mont-Blanc pour l'extraction de l'air vicié. « Le débit des gaines d'extraction de fumées était très largement inférieur aux normes actuelles », avancent les experts. Ceux-ci pointent également les absences conjuguées de galeries d'évacuation pour les usagers et de puits d'aération intermédiaire ainsi que l'inefficacité des refug

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