Une initiative jugée « inacceptable » par la holding financière suédoise Investor, principal actionnaire de Scania. Cette dernière a réagi le jour même en portant ses droits de vote dans la marque au griffon de 45 % à 50,5 % et sa participation au capital de 26,5 % à 27,3 %. Si le P-dg de Scania exclut toute collaboration avec Volvo, il n'écarte pas, en revanche, une coopération avec un constructeur étranger dont les produits et les implantations géographiques seraient complémentaires. « Volkswagen entre dans ce cas de figure », a d'ailleurs indiqué, vendredi 30 mai, Leif Oestling. La prise de participation croissante de Volvo au capital de son compatriote pourrait ainsi lui permettre de contrer un éventuel rapprochement avec le constructeur allemand, voire avec l'Italien
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