John Flick, porte-parole d'UPS, a confirmé dans les colonnes du quotidien Les Échos du 9 mars que le groupe américain de transport de colis est à la recherche d'un partenaire européen. Sans donner de chiffres précis, il reconnaît qu'actuellement l'« entreprise n'est pas viable partout en Europe ». Un marché qu'il considère pourtant comme « incontournable dans le processus de mondialisation ». Le groupe américain y est d'ailleurs déjà implanté par le biais de diverses acquisitions (dont celle du messager breton Prost au début des années quatre vingt dix). Pour améliorer la rentabilité de ce réseau, « nous devons le remplir », déclare le porte-parole d'UPS. C'est dans ce but que le groupe envisage de « nouer une alliance ou réaliser une acquisition dans le domaine de la livraison ». Cibles possibles : « les postes néerlandaise, TNT Post Group, ou britannique, Post Office », admet John Flick en précisant : « Mais tout le monde discute avec tout le monde ». Parmi les négociations en cou
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