Un mode réservé aux initiés

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Lots complets, messageries, déménagements, citernes, vrac, volumes... toutes les grandes spécialités du transport de marchandises sont concernées par la technique du combiné rail-route. Mais sa part de marché ne dépasse pas 6 % du trafic en France, soit 13,3 milliards de tonnes/kilomètres, et à peine 4 % en Europe. Au-delà des discours politiques de transfert plus ou moins autoritaire des trafics, c'est la viabilité économique de ce mode de transport qui est en cause et surtout l'accès à un marché que quelques entreprises spécialisées semblent se réserver. Attention, chasse gardée.

« Notre organisme compte une soixantaine de membres », annonce officiellement Jacques Rossi, secrétaire général du GNTC, le Groupement National des Transports Combinés qui assure la défense des utilisateurs français du ferroutage. Un club d'initiés, au sein duquel se mêlent transporteurs routiers, représentants du transport ferroviaire et opérateurs. Ces derniers sont propriétaires de la quarantaine de coûteux terminaux de transbordement qui permettent de transférer les caisses mobiles de la route sur le rail. En France, ils sont deux. Outre la Compagnie N

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