En quête de reconnaissance

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Les entreprises de transport léger ne sont pas contentes et le clament bien haut. A peine ont-elles accédé officiellement au statut de transporteur à part entière, qu'elles se voient écartées des mesures d'allégement fiscal accordé à la profession. Ce camouflet apporte de l'eau au moulin de certains syndicats représentant les « moins de 3,5t ». Lesquels incriminent le total manque de reconnaissance de ce secteur d'activité. D'où les rapprochements opérés avec les « grandes » fédérations professionnelles et l'émergence de nouvelles associations de défense. Etat des forces en présence.

«Les transporteurs légers sont des transporteurs à part entière depuis le début septembre, date à laquelle ils avaient obligation de s'inscrire au registre professionnel. Résultat : nous subissons désormais toutes les contraintes liées à cette profession et ne bénéficions d'aucun avantage » fulmine Pierre Roux, directeur général adjoint de Colitel et vice-président du SNTL (Syndicat national des transports légers). Malgré ses 14 000 entreprises (dont 1100 de courses) représentant 34 000 emplois, un chiffre d'affaires annuel estimé à 13 MdF, un parc

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