Publié le : Dernière Mise à jour : 22.08.2024Lecture : 5 min.
Réunie en congrès à Paris les 11 et 12 octobre, la Fédération nationale des transports routiers claque la porte du MEDEF. Une des conséquences du dernier conflit qui s'avère d'un« bon rapport qualité-prix » selon son président René Petit. Lequel annonce son départ en octobre 2001. Pour autant, les ristournes fiscales sur le carburant ne guériront pas le transport routier malade de son incapacité à répercuter la hausse de charges nouvelles. Seule une régulation efficace pourra y remédier. Les pouvoirs publics doivent agir et vite.
«La profession n'a pas eu tout ce qu'elle voulait mais ne s'est pas battue pour rien ». Un mois après le blocus des dépôts pétroliers, la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) réunie en congrès, les 11 et 12 octobre à Paris, se félicitait d'un bilan qui « offre un bon rapport qualité/prix » selon son président René Petit. Le ministre des Transports, Jean-Claude Gayssot en convient volontiers qui évoque « un résultat proche de ce que vous espériez ». C'est forte de ces engagements ministériels que la FNTR a demandé la levée du mouvement : « le poursuivre eut risqué d'entraîne
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