Les camions et la route vont rivaliser « d'intelligence »

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Avant d'envisager la création de nouvelles infrastructures qui demandent des financements qu'ils ont de plus en plus de mal à trouver, la plupart des pays européens ont pris pour parti d'optimiser l'utilisation des réseaux existants. Et de les rendre plus sûrs. Pour cela, les constructeurs développent des véhicules « intelligents » mais des projets concernent également les infrastructures. L'objectif est d'établir un dialogue entre eux...

Du 6 au 9 novembre dernier, s'est déroulé à Turin, en Italie, le 7e congrès international consacré à l'avenir des transports intelligents, sous l'égide de l'Ertico, l'organisme européen qui a en charge l'étude du développement de ces différentes technologies. Placé sous le patronage de Romano Prodi, président de la Commission européenne, ce séminaire a mis en avant les principales préoccupations des pays de l'Union européenne face aux perspectives d'accroissement des trafics, principalement routiers.

Tirer le meilleur parti de l'existant

En la matière, hormis quelques pays périphériques, tous les membres de l'UE sont confrontés à des problèmes identiques qui sont avant tout d'ordre budgét

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