Publié le : Dernière Mise à jour : 22.08.2024Lecture : 5 min.
Élimination des activités non rentables ou trop éloignées du transport routier de marchandises générales, développement de la logistique, déploiement à l'international et recentralisation de l'organisation du groupe. Ce sont les grands axes de la stratégie qu'entend mener dans les deux années à venir Philippe Michel, P-dg de Transalliance, dont il a pris le contrôle fin décembre 2000. Objectif : stabiliser en 2002 le chiffre d'affaires (à 3 MdF) comme les résultats d'un groupe « unifié ».
Deux mois après avoir pris le contrôle de Transalliance (cf. L'OT 2105), Philippe Michel, P-dg du groupe, l'entraîne dans un plan de réorganisation qui devrait s'achever en 2002. Une première mesure est déjà effective depuis le 16 janvier : la cession aux Transports Vallée (27) de Sematrans, filiale rouennaise de Transalliance. Spécialisée dans le transport de lots, cette dernière était « excentrée par rapport à la direction régionale sud-est (Debeaux) dont elle relevait. Elle était pourtant difficilement rattachable au pôle ouest (Malherbes basé à Caen) trop éloigné géographiquement ou à la filiale Transmanche basée à Dieppe mais axée
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