OTM: On a dit, en effet, que le niveau de formation qui était exigé - notamment la FIMO - constituait une barrière au recrutement car beaucoup de postulants n'ont pas le minimum des connaissances requises? D'autre part, combien avez-vous formé de conducteurs cette année ?
B.P. : C'est possible. Mais, à mon avis, ce serait une erreur que de rabaisser le niveau du recrutement. Le besoin de formation professionnelle et, a fortiori, le haut niveau de cette formation, montre que le métier de conducteur est un métier sérieux. C'est un élément qui me paraît positif. D'autant qu'aujourd'hui, le métier de conducteur routier est différent. Il faut avoir, à la fois, des aptitudes physiques et psychologiques car on ne peut pas confier à n'importe qui la conduite d'un véhicule de 40T dont le cha
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