La « boutique » familiale est gérée au cordeau depuis des années. Les générations sont passées mais le souci de ne pas dilapider le « trésor entrepreneurial » est resté. Les dirigeants successifs du groupe Heppner n’ont eu de cesse de renforcer les fonds propres au terme de chaque exercice (l’endettement ne pèse que 18 % de ces fonds propres). Sans pour autant rogner sur les besoins en investissements. Une précaution qui leur permet de faire face aux vents contraires. Car le groupe, encore présidé par Jean Schmitt, a lui aussi dû composer avec un tassement de ses marges en 2013. Le résultat net (consolidé) s’est ainsi affaissé de 30 %, à 3,2 M€, par rapport à l’exercice précédent. Pour autant, l’entreprise a maintenu des standards de performance sur la quasi-totalité de ses métiers. « La croissance a été au rendez-vous, y compris sur le marché de la messagerie. En revanche, nous avons connu une croissance plus modérée sur l’Europe avec, toutefois, de bonnes performances sur l’affrèteme
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