Les dirigeants italiens d’Ecomouv’ s’impatientent. Ils n’ont pas attendu l’arrivée de Ségolène Royal au ministère de l’Écologie pour agir. Selon nos informations, ils ont activé le 28 mars dernier la procédure de conciliation prévue par le contrat de partenariat entre la filiale de l’italien Autostrade et l’État français. Que permet-elle ? Dans l’attente de comprendre quelle sera la décision politique sur l’écotaxe (l’appliquer, l’abolir ou la remplacer par un nouveau dispositif), quelqu’un devra bien payer les coûts de cette phase de suspension. Ce sont justement ces aspects que le gouvernement français et Ecomouv’ doivent négocier, quitte à faire appel à la justice. Ces derniers jours, l’exécutif français et Ecomouv’ sont parvenus à un accord pour lancer la procédure avec la nomination d’un conciliateur par chacune des parties. C’est le conseiller d’État Pi
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