L’activité a été régulière en janvier car nous n’avons pas eu d’intempéries. Mais depuis février elle demeure en dents de scie. Est-ce l’effet des élections municipales ? C’est l’argument que nous avons entendu car certains projets ont été stoppés dans les communes faute de moyens budgétaires. Nous sommes dépendants de clients qui n’ont pas de visibilité. En revanche, nos activités sont complémentaires avec des saisonnalités qui le sont également. Nos clients (industrie, alimentaire, matières dangereuses) ont eux-mêmes des activités à saisonnalité. Il est incohérent de maintenir trois jours fériés en mai car c’est inadapté au contexte économique actuel. Aujourd’hui, le fait d’être transfrontalier n’est plus un atout parce que nous sommes situés sur la ligne directe de l’entrée des pays d’Europe de l’Est avec une concurrence forte sur les prix. Nous sommes en compétition tarifaire avec des entreprises qui ont globalement des charges divisées par trois. Seule la qualité de service nous sauve en France. Pour l’écotaxe, si nous devons payer les kilomètres parcourus sur le réseau taxable, il est normal que nous refactur
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