Depuis sept ans, l’Union nationale du transport frigorifique (UNTF) construit sa « maison », brique après brique. L’édifice commun, né de l’idée qu’il faut savoir prendre son destin en main, a été renforcé lors de la dernière assemblée générale, le 22 mai à Arles, avec l’annonce de 90 adhérents (dont les nouveaux venus Martin Brower, Strumia, Chabas, Epex, Maury Primeurs, Dorchies, STFV…) et 30 fournisseurs baptisés « membres associés ». Même s’il manque encore à l’appel des « récalcitrants » tels Delanchy et Godfroy, la barre symbolique des 100 adhérents est en vue. Mais pour faire quoi ? Ni organisation professionnelle généraliste, ni groupement, ni réseau commercial, ni centrale d’achats, l’UNTF présente un profil à part dans le paysage du TRM, à l’image de son activité sous température contrôlée, qui génère 8 à 10 % du total des volumes transportés. Trois verbes matérialisent l’action de l’UNTF : fédérer, proposer, s’imposer. Sous la férule d’un conseil d’administration élargi et d’une présidence bicéphale (soit Nicolas Olano et Philippe Antoine), le syndicat a réussi à rassembler des en
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