Ségolène Royal, l’égérie de la « transitude » routière, continue d’entretenir le flou sur son « bébé », le péage de transit poids lourd, improbable transfuge de l’écotaxe. Les certitudes de la ministre de l’Écologie sont telles que la faisabilité technique de son dispositif emprunte une pente glissante par rapport au 1er janvier 2015, date officielle de son entrée en vigueur. C’est la raison pour laquelle l’ex-présidente de la région Poitou-Charentes a préféré envoyer au charbon son secrétaire d’État chargé des Transports, Alain Vidalies, pour expliquer le nouveau concept, le 26 septembre devant les professionnels. Quel est désormais le message gouvernemen
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