« La traçabilité en milieu métallurgique, ça marche ! »

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Après quelques ratés, l’industriel Aubert & Duval a implémenté avec succès un suivi des pièces par RFID en « boucle ouverte », de l’usine au client, en impliquant plusieurs transporteurs. Entretien avec Philippe Rivière, directeur logistique de la société.
L’O.T. : Présentez-nous votre métier chez Aubert et Duval, et la problématique de traçabilité à laquelle vous êtes confronté.

PHILIPPE RIVIÈRE : Je travaille depuis 14 ans pour Aubert & Duval, une filiale du groupe Eramet, l’un des principaux groupes industriels des métaux d’alliages. Nous avons des centres logistiques en France mais aussi en Chine, au Japon et aux États-Unis. Nous fournissons des pièces en acier dans le monde entier à des industries de pointe telle que l’aéronautique, le nucléaire, l’armement ou encore le médical, à Eurocopter, Airbus, et le groupe Safran par exemple. Nous expédions 8 000 tonnes de marchandises par an, soit environ 30 à 40 semi-remorques par jour dans toute l’Europe. Depuis plusieurs années, nous recherchions une technologie nous permettant d’assurer nous-mêmes le suivi des objets de la production jusqu’à la liv

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