L’inquiétude règne au sein des Transports Lelandais, situés à La Landec, près de Dinan, et spécialisés depuis 1982 dans le transport d’animaux vivants(1). « Nous sommes inquiets car nous observons un fort ralentissement depuis une semaine et des camions sont immobilisés sur le parc », déclarait, il y a quelques semaines, Nancy Le Febvrier, responsable administratif et logistique en binôme avec son père Philippe Lelandais. D’après elle, l’activité vers l’export (Europe, pays de l’Est, Maghreb) est impactée. « Nous subissons la fermeture des frontières, confie-t-elle. Nous n’exportons plus ou très peu. L’international représente désormais 5 % de notre activité contre plus de 30 % habituellement. » Le transporteur, qui d’ordinaire réalise 50 % de son chiffre d’affaires (4 M€) à l’échelle nationale (et 20 % en rég
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