Fortement concurrentiel, le secteur du transport et de la logistique compte un très grand nombre d’encadrants intermédiaires. Les dirigeants ont tout intérêt à soigner cette population qui joue un rôle pivot : elle transmet les informations recueillies sur le terrain à la hiérarchie et rend compte du climat social de l’entreprise. Pourtant, elle peine à trouver sa place. Rien que sa définition, déjà, pose problème. Doit-on tenir compte du critère de statut : agent de maîtrise ou technicien supérieur ? Du critère de fonction : chef d’équipe, chef d’atelier, responsable camionnage ? Que désigne ce terme générique et approximatif « d’encadrants intermédiaires » Des encadrants « non-cadres », des managers de proximité ? Seul le contenu de leurs missions se recoupe dans les grandes lignes. Elles consistent principal
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