GAËTAN THÉAUD : À la création de la Mevennaise, en 1988, nous apparaissions effectivement, pour les marchés publics, comme une valeur sûre car le transport de déchets était réservé aux spécialistes. Mais ce n’est plus le cas : il y a de plus en plus de monde sur ce marché. Lorsqu’une collectivité locale lance un appel d’offres en séparant les lots pour faire baisser les prix, nombre de transporteurs se positionnent pour le transport.
Autrefois, le déchet était une niche, mais à présent les marges baissent.
G.T. : Nous avons investi dans un silo de stockage du verre que nous collectons, puis livrons aux usines de recyclage de Saint-Gobain Emballage et OI Manufacturing. Nous avons aussi un centre de tri des emballages, papiers et verres de quelque 200 000 ménages. Si nous voulions garder la main mise sur le marché, c’était obligatoire. Construit en 2000, il a même fait l’objet de trois ou quatre améliorations depuis (tri o
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