Ligne à grande vitesse : la parenthèse enchantée

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Depuis 2 ans, de nombreux transporteurs spécialisés dans les travaux publics profitent de l’immense chantier de la LGV. Si la plupart ont été prudents dans leurs embauches et investissements, le risque de la surcapacité inquiète, alors que peu d’autres chantiers sont programmés.

Les chiffres de la LGV (Ligne à grande vitesse) qui se construit entre Tours et Bordeaux donnent le tournis: 7,8 milliards d’euros, 340 km de lignes nouvelles, trois millions de tonnes de ballast, 1,1 million de tonnes de traverses de béton, 13 000 supports de caténaires… Et pour livrer les matériels et matériaux sur le chantier, de nombreux poids lourds mobilisés. « Au moins une centaine, affirme Vincent Tardet, président de l’OTRE Poitou-Charentes. La LGV a été une aubaine car elle a apporté de gros volumes aux spécialistes des TP, à une période où le secteur du transport routier connaissait une crise importante. Et même si l’on a vu quelques grands groupes de transport et des pavillons étrangers, la majeure partie du marché est allée aux entreprises régionales ». Depuis 2 ans, les transporteurs picto-charentais qui exploitent des b

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