Franck Behra : Le TRM est un métier qui évolue mais assez méconnu du grand public, sous tension et qui doit faire face au vieillissement de sa population (conducteurs, magasiniers caristes, mécaniciens…). D’où la nécessité de s’ouvrir vers l’extérieur pour faire connaître notre profession, d’investir dans la formation… C’est tout l’intérêt de cette charte lancée en 2019. Cette démarche s’articule autour de trois axes : faire découvrir les métiers du secteur en ouvrant les portes de son entreprise et en menant des partenariats avec les écoles ; repenser son recrutement avec des contrats d’apprentissage, de professionnalisation… ; valoriser les compétences de ses salariés. Aujourd’hui, 200 entreprises sont chartées sur l’ensemble de la France mais ce n’est pas suffisant. Car, pour rendre le secteur plus attractif, il faut se faire connaître. À noter que nous travaillons actuellement sur l’évolution de
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