QUAND LE SILICIUM prend le volant

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Éternel débat : qui de l’homme ou de la machine doit prendre l’initiative ? Si le code de la route dispose que le conducteur doit être en toutes circonstances maître de son véhicule, il n’en est pas moins vrai que les aides à la conduite se multiplient à une vitesse exponentielle.

Tout a commencé en 1983 avec l’application du 1er ABS, ou système antiblocage de freins, sur un véhicule lourd (sur l’autocar Mercedes-Benz O303). L’étape de l’ABS fut décisive car ce fut le jalon indispensable pour « instrumenter » le véhicule. En termes de sécurité, l’ABS permet de préserver le contrôle directionnel du véhicule lors d’un freinage. Il s’agit là d’une action se substituant au conducteur mais qui vient agir de façon « transparente » puisque le véhicule obéit normalement aux consignes données via le volant. Techniquement, l’ABS est un pas fondamental car il s’agit d’un équipement de base pour pouvoir développer d’autres aides à la conduite. À partir de cette brique élémentaire, les constructeurs ont pu ensuite ajouter l’antipatinage électronique ASR puis, au début des années 2000, l’ESP. Si

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