Aujourd’hui, 30 à 40 % des acquéreurs de poids lourds souscrivent systématiquement un contrat d’entretien », lance Lionel Bertuit. Pour le directeur commercial solutions transport Volvo Trucks, il y a quelques années, ce business ne concernait pourtant que 10 à 15 % des parts de marché. La profession semble changer de braquet : si dans les années 2000, elle ne jurait que par les garages intégrés, elle serait aujourd’hui tentée de se laisser séduire par les forfaits sous-traités. Il faut dire, qu’avec les moteurs de plus en plus bardés d’électronique, les valises de diagnostic vendues hors de prix, la garantie constructeur soumise à des conditions d’entretien, sans oublier les besoins en formation des traditionnels mécanos, la tâche de gérer la maintenance et la réparation au se
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