La nouvelle est tombée quelques minutes avant le début de la conférence. Ségolène Royal est nommée ministre du développement durable, de l’écologie et de l’énergie. Pour Nicolas Paulissen, délégué général de la FNTR, l’absence d’un ministre des transports présente le risque que l’approche du secteur « se focalise, comme entre 2007 et 2010, sur les infrastructures et le développement durable, et non plus sur l’économique ».
Et pourtant, trouver une solution s’impose car le pavillon français ne détient plus que 10 % de parts de marché à l’international, essentiellement parce qu’il affiche les postes « social » et « carburant » parmi les plus coûteux d’Europe. Le premier représente 34 % des coûts et le second 27 %, selon le Comité national routier. « Le différentiel de marge de compétitivité sur le pos
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?