Des carottes en hiver, des tomates en été : la nature impose son rythme aux producteurs de fruits et légumes, aux distributeurs… et aux transporteurs. C’est peut-être pour cette raison inhérente à l’activité que le secteur s’est structuré tardivement en France. Mais une étape est franchie, et une fois n’est pas coutume, c’est la grande distribution qui a montré la voie aux producteurs agricoles. Les enseignes d’hypermarchés se sont en effet organisées ces dernières années pour mutualiser et massifier toujours davantage. Objectif : un meilleur contrôle la chaîne logistique. « 70 % de nos fruits et légumes sont aujourd’hui en flux départ, c’est-à-dire que nous e
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