« Le tunnel du Fréjus semble présenter toutes les conditions de sécurité nécessaires pour absorber l'augmentation du trafic depuis la catastrophe du Mont-Blanc. Le système de régulation ne se justifie donc pas », assure René Petit, président de la FNTR. « Au contraire, nous estimons que la situation est en train de se dégrader et de s'aggraver. Les attentes et les engorgements liés à la rétention des poids lourds engendrent la colère des chauffeurs et des riverains ». C'est pour se rendre compte « de visu » de la situation et rencontrer les interlocuteurs locaux - le préfet de Savoie, la direction de la Société française du tunnel routier du Fréjus et une association de riverains - que les instances parisiennes de la FNTR, de l'Unos
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