« Convaincre de l'intérêt économique du groupement, faire tomber les barrières psychologiques et prouver que le groupement n'est pas l'éclatement d'une entreprise de transport et sa paupérisation mais au contraire la mise en commun de moyens techniques, financiers, humains permettant la création de nouvelles richesses. » Trente cinq ans après sa création, la Fédération nationale des coopératives et groupements du transport est loin d'avoir terminé sa mission, observe son président, lors du congrès tenu au Croisic, les 10 et 11 juin. Certes, des étapes importantes dans la reconnaissance du mouvement coopératif sont intervenues telle que la mise en place du fonds d'aide au regroupement d'entreprises de transport. Certes, Unicooptrans compte 33 adhérents représen
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?