Une rentrée sociale pesante. Tel est le constat du côté des représentants des salariés comme des chefs d'entreprises du transport routier. « Les employeurs mettent en avant la hausse de leurs coûts - gazole et revalorisation des salaires conducteurs au 1er octobre - pour expliquer leurs difficultés à négocier le social », observe François Yverneau, secrétaire fédéral de la CFDT branche route. « Ils oublient que gouverner, c'est prévoir. D'ailleurs, une autre échéance, celle du 1er juillet 2000, les attend ! ». Retour à l'envoyeur : pour Joël Debaye, directeur des ressources humaines de United Savam à Soissons, c'est surtout la lenteur des négociations paritaires qui constitue une source d'inqu
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