« Comment concilier la marche forcée vers les 35 heures avec le projet de directive européenne prévoyant 48 heures de travail en moyenne sur six mois ? », s'interrogeait Jean-Louis Amato, président de l'Unostra, le 17 septembre dernier à Marseille. « Se pose aujourd'hui la question de la cohésion européenne. Pour préserver la compétitivité des entreprises, il faut donner un véritable sens à l'harmonisation », affirmait-il. « Les pratiques sociales sont au coeur de la concurrence inadmissible que nous livrent les pays de l'Est avec la complicité de nos voisins allemands ». D'où la nécessité d'une orientation politique « clairement définie » en la ma
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?