Non à l'exception française

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Distorsions de concurrence européennes et 35 heures fondent l'essentiel des inquiétudes exprimées par la Fédération Nationale des Transports Routiers lors de son 54e congrès, les 19 et 20 octobre. Aux nombreuses questions qui en découlent, le ministre des Transports a répondu par un discours rassurant, peu convaincant et quasi-militant en faveur de l'extension au niveau européen de l'exception française.

Alors que le processus d'élaboration de la loi « Aubry 2 » arrive à son terme, avec à la clé l'obligation et la généralisation des 35 heures de travail hebdomadaires, la FNTR s'interroge sur la mise en oeuvre de ce texte dans les transports routiers de marchandises. En effet, la spécificité de la profession, reconnue dans le cadre de la première loi Aubry sur les 35 heures, n'est pas prise en compte dans la seconde version du texte. Selon René Petit, le processus de « progrès social » dans lequel s'est engagé malgré tout le transport routier de marchandises depuis cinq ans, risque même d'être gravement remis en cause si la situation reste en l'état. Au cours de la matinée précédant la séance de clôture du congrès, Gérard

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