Matignon ne s'engage pas

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« Le pire n'est pas certain, mais la marge de manoeuvre extrêmement réduite. » Tel est le sentiment affiché par les trois organisations professionnelles représentatives du transport routier de marchandises, à l'issue de leur rencontre, le 17 novembre, avec deux membres du cabinet du Premier ministre sur l'application de la loi sur les 35 heures au transport routier.

Composée de René Petit, président de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR), Georges Drouin, membre du directoire de la Fédération des entreprises de transport et de logistique de France (TLF) et Jean-Louis Amato, président de l'Unostra, la délégation a fait part de ses extrêmes inquiétudes quant à une application stricte de la loi Aubry II au secteur. Une préoccupation d'autant plus justifiée que le projet de texte adopté en première lecture à l'Assemblée nationale a évacué toute prise en compte de ses spécificités. L'idée d'obtenir une exclusion pure et simple de la profession du champ de la loi étant désormais abandonnée, les représentants professionnels ont réaffirmé la nécessité de rechercher une solution « réaliste » et « pragmat

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