Les transporteurs disent « non » aux 35 heures

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Les organisations professionnelles du transport routier ont annoncé, pour le 10 janvier prochain, une action d'envergure nationale aux frontières. Objectif : peser sur le gouvernement afin qu'il amende son projet de décret « 35 heures ». Lequel ne reconnaît que très partiellement la spécificité du secteur en excluant notamment de son champ d'application les conducteurs « courte distance ». Sur fond d'envolée du prix du gazole, le texte est même, pour la profession, synonyme de déclin du pavillon routier français.

Les frontières terrestres françaises bloquées le 10 janvier prochain au matin. Telle devrait être la première grande manifestation de la colère des transporteurs routiers. En ligne de mire des chefs d'entreprises : la loi sur les 35 heures et son décret d'application « transport routier ». Lequel ne répond que très partiellement aux attentes des quatre organisations professionnelles, organisatrices du mouvement national après avoir soutenu des actions plus locales avant les fêtes de Noël (voir encadré). La Fédération nationale des transports routiers (FNTR), l'Union nationale des organisations syndicales des transporteurs

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