Objectif : alerter l'opinion publique, le pouvoir politique et les cheminots sur la situation « grave » dans laquelle se trouve le transport ferroviaire.
Partant de la constatation que la part du transport par fer est en « chute libre », les fondateurs de ce groupement estiment que ce phénomène est dû à un niveau de service « inacceptable » et à un « manque de compétitivité de l'offre », ce qui provoque des « surcoûts de centaines de millions de francs ». Ils avancent qu'en 2010, au rythme où vont les choses, le transport ferroviaire occupera probablement moins de 15% du marché. Avec en conséquence : des pertes d'emploi dans l'industrie et le commerce, ainsi qu'un affaiblissement des grands ports français déjà victimes d'une desserte terrestre jugée déficiente. Pour renverser la tendance et assurer la pérennité d'une technique dont ils peuvent difficilement se passer, les membres du GIFF préconisent des « mesure
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