«L'attente de la circulaire d'interprétation, à paraître en mars, ne dispense pas les entreprises de transport routier d'appliquer, depuis le 1er février, les dispositions du décret ». Cette phrase lancée le 28 février par Hubert du Mesnil, le directeur des Transports terrestres, vaut-elle avertissement ? Autrement dit, les transporteurs ont-ils tout intérêt à respecter dès à présent les nouvelles mesures en matière de durée maximale des temps de service des conducteurs (220 heures mensuelles pour les « grands routiers » et 208 heures pour les « courte distance »), de majorations des heures supplémentaires, de seuil de déclenchement des repos compensateurs et récupérateurs ? Ou, au contraire, doivent-ils encore attendre, au risque d'être sanctionnés, la sortie de la circulaire d'application du texte
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