Entreprises ch erchent mode d'emploi

Article réservé aux abonnés

Dans l'attente de la circulaire d'application du décret « 35 heures », les transporteurs routiers optent logiquement pour une position attentiste. Une attitude que conforte paradoxalement l'administration. Plus généralement, les entreprises n'en finissent pas de dénoncer un texte émaillé de chausse-trappes. Témoignages.

«L'attente de la circulaire d'interprétation, à paraître en mars, ne dispense pas les entreprises de transport routier d'appliquer, depuis le 1er février, les dispositions du décret ». Cette phrase lancée le 28 février par Hubert du Mesnil, le directeur des Transports terrestres, vaut-elle avertissement ? Autrement dit, les transporteurs ont-ils tout intérêt à respecter dès à présent les nouvelles mesures en matière de durée maximale des temps de service des conducteurs (220 heures mensuelles pour les « grands routiers » et 208 heures pour les « courte distance »), de majorations des heures supplémentaires, de seuil de déclenchement des repos compensateurs et récupérateurs ? Ou, au contraire, doivent-ils encore attendre, au risque d'être sanctionnés, la sortie de la circulaire d'application du texte

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Evénement

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15