Le transport France « en baisse temporaire de régime »

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L’intégration d’Ebrex pèse sur la rentabilité de STEF. Le groupe se cherche des relais de croissance en Europe.

« Un premier semestre de transition et d’adaptation dans un environnement peu porteur ». C’est en ces termes que Jean-Pierre Sancier a présenté, le 30 août, les résultats de STEF pour le premier semestre 2014. Un premier semestre qui a vu les volumes progresser dans les mêmes proportions que le chiffre d’affaires, respectivement à +5,7 % (+6 % en Europe et +5,6 % en France) et +5,9 %. Le groupe de transport frigorifique a ainsi bouclé la période sur un revenu de 1,331 Md€ contre 1,257 Md€ dans les six premiers mois de 2013. Les ventes de transport dans l’Hexagone ont enregistré une progression de 8,5 %, « due à l’intégration d’Ebrex (Ndlr, racheté en juillet 2013), sinon le chiffre d’affaires serait resté stable », selon le directeur général de STEF. L’ensemble des activités du groupe s’est inscrit dans une tendance haussière : la logistique France a progressé de 4,2% à 234 M€, les activités européennes de 6,9 % à 261,4 M€ et les activités autres (La Méridionale�

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