Bonne pratique plutôt que bonne conscience

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Le transport routier n’échappera pas à la rhétorique de la transition énergétique et aux obligations du mieux-disant environnemental. Le principe, discutable, d’une écotaxe – devenue taxe de transit PL – polarise toutes les attentions. Comme si le fait de lever quelques centaines de millions d’euros, par an, sur le mode routier allait redonner sa virginité à une politique des transports en France, pour les marchandises, qui n’a jamais clairement été définie. Se concentrer sur la taxe PL, c’est, par calcul budgétaire ou par ignorance, faire fi des actions concrètes en matière de management environnemental initiées dans maintes entreprises de TRM, appelées à devenir « éco-responsables ». Depuis octobre 2013, le code des Transports rend obligatoire l’affichage du poids CO2des prestations de transport réalisées sur le territoire français. En ce sens, l’émergence de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), incluant les trois piliers environnementaux, sociaux, et économiques, voit plus large. Plus que de bonne conscience, c’est bien de bonnes pratiques pour diminuer les pollutions, nuisances, accidents… dont il est question.

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