Finalement, les transporteurs iront dans la rue. En semaine. N’en déplaise à Ségolène Royal, la ministre de l’Écologie qui, le 7 octobre, apprenant les projets de mobilisation, a appelé les « routiers à se calmer ». C’est à l’issue, la semaine dernière, de la consultation de leurs instances respectives que, d’une part, la FNTR, avec le soutien de ses alliés que sont l’Unostra, TLF et la CSD (Chambre syndicale du déménagement), et d’autre part, l’OTRE, ont fait le choix de l’action sur la voie publique. Pour cette dernière, qui avait déjà pris les devants fin 2013 (deux fois un samedi), le mot d’ordre se veut national. Pour les premières, l’initiative vient, dans un premier temps, du terrain même si Nicolas Paulissen, son délégué général, annonce l’existence d’une plateforme nationale de coordination.
L’OTRE a, pour sa part, opté pour le vendredi
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