Le grand écart

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Les organisations syndicales ont donné 8 jours aux négociateurs patronaux pour répondre aux demandes qu’elles ont formulées lors de la deuxième réunion de négociation salariale, le 12 novembre. Leurs revendications portent, entre autres, sur une revalorisation de 5 % des salaires conventionnels. « Nous demandons une augmentation de 100 € nets par mois pour tous les salariés, un taux horaire minimum de 10 € à l’embauche pour les coefficients les plus bas, la prise en compte linéaire de l’ancienneté pour les personnels ouvriers à l’instar de ce qui est pratiqué pour les employés et les techniciens », indique Thierry Cordier, secrétaire général de la CFDT Route. Pour faire bonne mesure, les syndicats ont ajouté la mise en place du 13e mois conventionnel, l’ouverture d’une négociation sur la gestion des fins de carrière et plus largement sur la protection sociale, la suppression de la carence maladie. Un catalogue de revendications auquel la partie patronale n’avait que peu à opposer, selon le syndicaliste. « La représentante de l’UFT (Union des fédérations de transport, ndlr) n’avait, dans l’attente de nos chiffrages, aucun man

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